En nous privant des mythes, nous nous sommes amputés d’une partie de nous-mêmes !
Le mythe, c’est ce qui n’existe pas ! C’est bien connu, mais ce qui l’est un peu moins, c’est qu’en le congédiant ainsi, nous n’avons plus accès à ce qui existe discrètement en nous ! Pourquoi avons-nous ainsi renié ce qui nous reliait, "il y a peu encore", à la complexité de l’univers, à ce que nous y faisons ? Qui, a fait tant et si bien que cette mine à ciel ouvert pour les authentiques chercheurs de vérité, soit "l’objet de notre ignorance" et, pour les plus avertis, de leur condescendance ? Qui, et pour quelle raison véritable ? La savaient-ils eux-mêmes ? ... La physique quantique, cette fine fleur de notre science, n’est-elle pas une nouvelle mythologie, avec cet avantage sélectif toutefois de mieux nous convenir, pour le moment ? Espérons que les anthropologues à venir seront plus respectueux, mais surtout plus attentifs aux raisons pour lesquelles nous nous sommes contentés de cette dernière, quand bien même la Recherche sait, sans trop le dire,...