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Affichage des articles du janvier, 2023

Quand l’énigme quantique éclaire notre propre mystère !

Autant se l’avouer, le seul mystère qui nous intéresse vraiment reste le nôtre, et toute investigation de ce que nous appelons le réel, n’a d’autre but que de nous conférer quelque point d’appui, quelque réalité, fut-elle fugitive ! Il n’est pas question de rappeler ici ce que tout le monde sait, ou presque : nous sommes composés d’atomes ! Ni même d’exhiber ce paradoxe peu fréquenté depuis deux siècles : si nos yeux pouvaient nous rapporter tout ce qu’il se passe dans l’infrarouge, celui qui, il a un instant encore, nous semblait terriblement niais, nous apparaîtrait soudain rayonnant ! … Apparemment, la physique quantique n’a pas l’Homme pour objet, mais des objets pour l’Homme ! Qui pourrait lui en vouloir, car c’est à cette seule condition que les utilitaristes qui nous gouvernent leur accordent quelques subventions ? Se voulant exacte, qui ne pourrait la comprendre lorsqu’elle refile cette patate chaude aux approximatifs de l’anthropologie ?… Il est vrai que cette dern

Des réponses restées sans questions ! …

Qu’est-ce à dire ? Il ne suffit donc pas que certaines de nos questions restent à ce jour sans réponse, des réponses seraient-là, quelque part, en jachère, qui les attendent ! Dans quel monde vivons-nous ?  * *         * Pour en revenir à celles qui nous taraudent depuis peu, est-ce la dictature médiatique qui nous les impose, ou bien alors, notre conscience se fait-elle toujours plus exigeante à mesure que le bruit informationnel se bouscule à nos oreilles ? Ou, selon ce que nous ne saurions plus envisager : l’évolution de nos représentations est-elle un symptôme de ce qu’il se passe au-dessus de nos têtes ? Toujours est-il que certaines questions se font plus insistantes que jamais ! Emblématique, s’impose la petite nouvelle, devenue ritournelle : "Sommes-nous seuls dans l’univers ?" Aura-t-elle, cette question peu soucieuse des formes, plus de succès que celle, élégante, rythmique, que prononça Lamartine à l’attention de ce XIXème siècle qui n’y vit qu’un